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Serait-ce un manque, un moment de nostalgie ? Va savoir… Mais le fait est là : voilà 3 semaines que mes 2 moitiés, mes petites princesses sont parties en vacances. Alors quand j'ai vu ces chichis (ou churros) me faire du pied de nez sur la plage, j'ai craqué. 🙊 Car, vois-tu, ces chichis accompagnés d'une sauce chocolat - dont je tairais ici le nom fort connu et goûtu - sont un rituel. Ils terminent un instant de baignade. Ils clôturent des rigolades dans les vagues. Les grains sucrés qui les recouvrent sont comme les grains de sable qui se collent toujours à tes pieds quand tu veux enfiler tes sandales pour rentrer. On les dévore encore chaud en les trempant dans le chocolat coulant et on a tous soudain ce sourire béat aux lèvres qui signifie qu'on a passé une bonne journée. Alors… OUI ! J'ai craqué… Mais après tout, cela fait partie de la Happy Thérapie : Act like a child. Faire comme un enfant (en français dans le texte). Qui de mieux que les enfants savent profiter de l'instant présent ? Sans se soucier d'hier, sans se soucier de demain, mais juste s'extasier sur les petites choses qui nous entourent (un chat qui passe, un coquillage sur le sable, une chanson à la radio, des chichis à la plage…). Alors CARPE DIEM, je profite de l'instant !!! Et je pense à mes enfants… En rentrant ce soir là, il y avait dans ma boîte aux lettres le dernier numéro de "flow", tu sais ce magazine qui t'aide à "savourer le bonheur des choses imparfaites". Je kiff. Il est imprimé sur des papiers différents, certains glacés, d'autres sont légèrement cartonnés. Il y a souvent plein de petits cadeaux à l'intérieur : des cartes, des bloc notes, des jolis messages, des papiers à découper, à garder… Un régal pour les yeux et pour le cœur. Dans celui-ci, il y a un petit manuel détachable pour partir à la découverte de soi. On inscrit dedans tout ce qu'on aime ou pas, nos habitudes, nos points faibles. Cela nous aide à faire le point sur nous-même ; comme un petit mode d'emploi sur soi que l'on peut partager avec ses proches (ou pas…). Comme ça, si t'as une panne de cœur, ils n'ont plus qu'à lire la notice 😉. L'idée est originale, c'est Barbara Tammes qui a conçu et illustrer ce joli dépliant. Maintenant il ne me reste plus qu'à faire une introspection sur moi-même et à le remplir… hummm… pas si simple !! J'ai aussi beaucoup apprécié le graphisme floral des intercalaires détachables. A épingler sur le mur du bureau pour un moment de réflexion. Plus d'infos sur le magazine Flow : le numéro 18 - Facebook - Instagram Ah, oui, j'allais presque oublié : je t'offre aujourd'hui une fleur d'hibiscus. Ce rouge flamboyant est un appel à la romance. Une fleur tout en légèreté. Comme un symbole pour refléter ce que je souhaite cette semaine : de la douceur et de l'harmonie. Bonne semaine à toi. Enregistrer

Quoi, comment ça on n'est pas lundi ?!?? 😳. Bon ok… on est mardi mais en même temps cette pause bonheur date d'hier et hier, on était bien lundi ! Alors oui, j'ai pris le temps pour la savourer ma pause. 24 heures, c'est correct non ? Ne serais-je pas en train d'adopter la "Fuck it Therapy" ? La que sa quo ? La "Fuck it Therapy" ou l'invitation à lâcher prise. "Oh, et puis merde !" (en français dans le texte) est une nouvelle tendance fashion-beauty-food, encore un anglicisme qu'il faudra adopter dans son vocabulaire, mais c'est aussi une invitation à dire "Non", "Stop !" ou encore "Je m'en fous !". En gros, arrêtons de nous prendre la tête pour des petites choses qui n'en valent pas la peine. Et pourquoi pas, suivre le conseil prodigué par le philosophe Alexandre Jollien dans Trois amis en quête de sagesse : "Créer un dossier RAF (Rien à Foutre) et y glisser toutes les idées malsaines qui nous turlupinent, les fantasmes, les illusions et les délires. Ne pas s'attarder sur le flot de pensées inutiles et nocives qui nous traversent du matin au soir, sortir de ce brouillard". Et, pour ne pas flancher, on choisit un petit grigri, pour moi ce sera ce joli cœur offert par une collègue, ça peut être ce que vous voulez, du moment que ce soit quelques chose qui vous rappelle à chaque coup d'œil : "Je m'en fous !". Et puis, dans ce #petitlundibonheur #1, je partage aussi avec vous le livre de Françoise Boucher aux éditions Nathan : "Le livre qui te rend super méga heureux". C'est un livre léger, très graphique, qui donne le sourire et qui se lit vitesse Grand V. Ma plus grande fille a adoré. Il est sur ma table de chevet depuis bientôt un an et j'aime à l'ouvrir parfois le soir pour me changer les idées. Mais bien avant d'ouvrir à nouveau ce livre, je m'étais arrêtée à la Boulangerie/Pâtisserie Coulis de Framboise située au Lamentin, derrière La Galleria et j'ai acheté des zakaris aux légumes. Une joli découverte pour une pause goûter. On sent très bien le parfum du piment végétarien. Pour accompagner ces petits encas, j'ai fais un smoothie Pastèque / Framboises. J'avais une envie de fraîcheur. (Entre nous, j'avais surtout la moitié d'un pastèque énorme dans le frigo et la manger entièrement seule avant qu'elle ne s'abîme - les filles n'étant pas là pour m'aider - aurait été mission impossible 😉). J'ai donc déniché une recette sympa sur le net et me voilà en train de faire un super smoothie vitaminé. Recette juste en dessous 👇🏽 👅. Recette du Smoothie Pastèque / Framboise - Couper une pastèque en morceaux et enlever les pépins. - Mettre environ un bol plein dans le blender. - Ajouter une grosse poignée de framboises congelées - Compléter avec le jus d'un citron jaune et 2 c. à soupe de sirop d'agave - Mixer et déguster ! * * * * Et puis, en toute simplicité, je me suis offerte une belle fleur de balisier pour 1 euro. L'avantage avec les fleurs tropicales c'est qu'elles se suffisent à elles-mêmes dans un vase design et aussi qu'elles durent vraiment plusieurs jours. Et, comme pour prolonger cet instant, je me suis vernis les ongles avec un beau rouge clinquant. Histoire d'avoir une excuse pour prolonger encore quelques minutes cette pause bonheur où on savoure l'acte de ne RIEN FAIRE, ou presque… Ou presque car j'entame alors une séance de méditation. Pas facile quand le cerveau bouillonne, mais nécessaire justement pour tout remettre ne ordre. Car comme le dit si bien Steve Jobs : "Si on essaie de calmer (l'esprit), on ne fait qu'empirer les choses. Mais, avec le temps, il va s'apaiser et quand cela arrive, il y a de la place pour entendre des bruits plus subtils. L'intuition s'épanouit et on commence à y voir plus clair et à être davantage dans le présent. L'esprit ralentit et un énorme espace se dégage alors. On voit tellement plus que ce qu'on voyait avant. Mais c'est une discipline et il faut la pratiquer. " Et si toi aussi tu essayais de faire une pause bonheur ?

Le matin, je déjeune souvent d'un chia pudding, un mélange de graines de chia et de flocons d'avoines. J'ajoute des fruits frais, et c'est un petit-déjeuner qui me permet de tenir toute la matinée. Pour varier les plaisirs, je réalise parfois mon granola moi-même. Les céréales du commerce étant trop sucrées, ce granola maison est idéal. Il contient peu de sucre et juste assez d'oléagineux pour faire le plein de protéines et donner de l'énergie. On trouve beaucoup de recette sur internet et celle-ci - dont je respecte les proportions au gramme prêt - est parfaite. Mon granola est réussit à tous les coups ! Je change parfois les noix (pécan, cajou, amande, noisette…) en fonction de celles qui sont dans mon placard et varie aussi entre les graines : tournesol, lin, césame ou graines de courges. Le granola se déguste sur un yaourt au soja ou un yaourt grec. J'ajoute des fruits frais et puis je me régale !! Pour réaliser un bon Granola Maison croustillant et savoureux, il te faut : - 35 g de noisettes - 35 g de noix de cajou - 35 g d'amande - 150 g de flocons d'avoines - 15 g de graines de lin - 15 g de graines de courge - 15 g de graines de tournesol - 3 c. à soupe de sirop d'agave - 2 c. à soupe d'huile de de coco Comment faire ? - Torréfier rapidement les noix dans une poêle sans matière grasse. Puis les concasser grossièrement. - Dans un petite casserole, faire réchauffer l'huile de coco et le sirop d'agave. - Dans un récipient, mélanger les flocons d'avoines, les graines et les noix torréfiées. - Verser le sirop chaud dessus et mélanger bien pour enrober le tout. - Déposer le mélange sur une plaque allant au four recouverte de papier sulfurisé. Bien étaler uniformément. - Enfourner à 150°C et vérifier régulièrement le granola. Il faut que le mélange dore légèrement. Mélanger de temps en temps pour une cuisson uniforme. Attention à ne pas faire brûler. Compter environ 30 minutes. - Laisser refroidir et conserver dans un bocal hermétique pendant une dizaine de jours.

Je marcherai sur ta terre rouge. Je foulerai du pied ton sentier poussiéreux. Et je resterai en suspens face à tant de talent… Le Village de la Poterie est de ces lieux qui a su préserver l'histoire. C'est un site historique et unique en Martinique. Une évolution au fil du temps qui n'a été que bénéfique. Le site a gardé son âme et l'ambiance y est conviviale. A l'intérieur des belles bâtisses de briques rouges aux murs épais, il y fait frais et un cachet d'authenticité se dégage. Ces bâtiments ainsi que des maisonnettes créoles, hébergent divers artisans, potiers, commerçants et quelques restaurateurs. Chacun y trouvera son bonheur. De quoi passer une belle journée à déambuler sur cette terre poussiéreuse rouge, rouge du travail de la terre, rouge poterie. Le Village de la Poterie est une ancienne habitation jésuite de la fin 17ème. C'est au cours du siècle suivant que le domaine se spécialise progressivement dans le travail de la terre avec la production de matériaux de construction, de briques et de tuiles. Progressivement, les bâtiments de service et d’habitation du village sont occupés par des artisans commerçants. Aujourd'hui, le Village de la Poterie est l'une des plus anciennes briqueteries de France. Ici sont fabriqués briques, tuiles, carreaux… et les artisans potiers, que vous pourrez voir exercer leur talent sur place, proposent poteries (dont la fameuse carafe, le véritable "réfrigérateur d'antan" qui permet de garder l'eau très fraîche) et autres objets de décoration en terres cuite. Céramiques, peintures, bijoux, souvenirs, savons, bougies objets et meubles en bois… le choix est vaste et vaut le déplacement. On y a donc passé la journée "entre filles" car la mission du jour était de dénicher quelques cadeaux à emporter "là-bas"*. J'avais déjà fait un petit repérage il y a peu, venant sur les lieux un dimanche pour une toute autre raison et j'étais restée bouche bée devant les vitrines des diverses boutiques, qui, pour la plupart, étaient bien-sûr fermées ce jour là ! Je m'étais donc promis de revenir sur les lieux pour faire du shopping. Car oui, je l'avoue, je ne n'y avais pas mis les pieds depuis un moment, (Shame on me 😁) ou peut-être tout au plus pour une halte gastronomique ; la destination Poterie étant au demeurant un incontournable quand tu as des vacanciers qui viennent te rendre visite pour la première fois, et je regrette de ne pas y avoir déambuler plus souvent, juste pour le plaisir des yeux et de la balade. * "là-bas" est une expression utilisée "ici" pour parler de cette destination outre-atlantique : la Métropole, ou, plus communément la France. Nous avons trouvé notre bonheur et on s'est aussi fait plaisir, c'était immanquable tellement le choix fut vaste ! I l y en a pour tous les goûts, les styles, les bourses, en passant du classique souvenir très couleur local à celui beaucoup plus original et même personnalisé. Allez, je ne blablatte pas plus et je vous livre ici mes coups de cœurs… 7 bonnes raisons d'aller au Village de la Poterie mes coups de cœur ART POP - Boutique - Objets en faïences Au centre du Village, sur la gauche On a envie de tout acheter dans cette petite boutique. C’est coloré, original, créatif… Christophe réalise au fond de sa boutique de beaux objets en céramique Raku. Une technique qui permet au objets d’avoir des craquelures et de dessiner ainsi dans l’émail de subtils réseaux d'un noir profond. Des petits personnages et animaux ludiques, parfois dessinés par sa femme, prennent alors vie. On trouve aussi quelques belles pièces issu du monde équitable, venues d’Afrique et des tableaux contemporains très graphiques au style Pop haut en couleur. Petit plus, les tarifs son très corrects. Une adresse immanquable pour de beaux cadeaux, pour faire plaisir et aussi se faire plaisir. Facebook : art.pop.martinique * * * * * * * LA SAVONNERIE ANTILLAISE - Savonnerie artisanale Au centre du Village, sur la gauche Ici sont fabriqués sur place de véritable gourmandises pour le corps. Savons aux parfums classiques mais aussi exotiques sont à l’image de pâtisseries sucrées que l’on dévore avec le nez tellement les parfums sont envoûtants. Chocolat, goyave, mangue… huile naturelle, pour la peau, les cheveux… on ne sait lequel choisir. Le site propose d’acheter en ligne et permet un livraison sur la Martinique, la Guadeloupe mais aussi la Métropole. Site web la savonnerie antillaise * * * * * * * VERRETIGE - Gravure sur Verre Tout au fond du village, après le virage sur la droite Vertige c’est le nouvel artisan du Village de la Poterie. Ils sont situés bien an fond du Village. Graveur sur verre, ils proposent des modèles uniques qui sont réalisés sur place. De la création du visuel au produit finit, compter environ 30 min. La boutique propose de jolies pièces uniques : verres, bouteille,…… il est même possible de venir avec son rhum vieux millésimé pour personnaliser la bouteille. Une idée cadeau très originale et très classe… Le coup de coeur a été total, chaque objet est gravé avec soin et les motifs sont modernes. On a juste envie de repartir avec tout, vraiment tout ! J'ai d’ailleurs craqué pour une bouteille ou sont gravés en effet négatif le nom de tous les rhums de Martinique. Facebook Verretige * * * * * * * TI SALINES - Boutique souvenirs Au fond du Village, sur la gauche Le Village regorge de boutiques souvenirs. J’aime particulièrement celle-là. Vêtements, chapeau, bijoux, beaux objets raffinés pour la maison, le choix est vaste et les prix sympa. On y déambule tranquillement et l’on repart forcément avec un petit quelque chose !!! * * * * * * * CAZ’ART - Artisanat Caribéen A l’entrée du Village, sur la droite Et dire que j’ai hésité à rentrer dans cette boutique car je n'étais pas trop inspirée de l'extérieur. C'est ma fille Loée qui voulait absolument y entrer. Et bien ce fût une jolie surprise. Une adresse au top qui mélange belles pièces pour aménager la maison ainsi que de jolis objets déco. J’ai craqué pour les petits carreaux de faïence qui permettent de réaliser des crédences colorées. Une boutique qui vaut le détour car elle propose quelques beaux objets d’art Caribéen et certains aussi en provenance du Mexique. Facebook Caz'Art * * * * * * * LE JARDIN DES ENVIES - Restaurant A l’entrée du Village, sur la droite Bienvenue dans une monde coloré, tropical et fleuri ! Ici, on est transporté dans un univers très girly et féérique. L’accueil est agréable et on y déguste une cuisine raffinée et délicieuse. Les plats sont très bien présentés et copieux. On peut déjeuner ou simplement s’évader un moment, bien installé dans le petit coin salon tout en dégustant un savoureux cocktail. Une très bonne note. Je reviendrai sûrement un soir car il y a beaucoup d’animations le week-end. Programme à suivre sur leur compte Facebook. Facebook Le Jardin des Envies * * * * * * * O'COUP D'CŒUR - Pâtissier, Salon de thé A l’entrée du Village, sur la droite J’avais déjà testé cette adresse auparavant et j’étais obligée d’y retourner pour la pause goûter ! Cette fois j’avais envie de fruits rouges et je sais qu'ici les pâtisseries sont faites avec des fruits frais. L' on peut s'installer sur la terrasse ombragée ou rester au frais dans la belle bâtisse au charme d’antan. Le salon cosy invite à une pause reposante dans un lieux spacieux et agréable. Les gourmands seront conquis. Facebook O'Coup D'Cœur * * * * * * * J’espère que ces quelques bonnes adresses et photos du Village de la Poterie vous auront donné envie de visiter - ou re-visiter - le lieux. En tous les cas, nous, on a laissé une trace, une empreinte dans la terre rouge, rouge poterie. Et vous alors, vous avez aussi des coups de cœur à me conseiller ? 😊 Plus d'infos sur le Village de la Poterie ici "La vocation s'est d'avoir pour métier sa passion" Stendhal Enregistrer Enregistrer

Cela est comme une évidence. Pour un jour de Fête, celui des Mamans, il fallait un peu de douceur. De moelleux. Le Gâteau de patate douce semble remplir le contrat. Mais faut-il un "contrat" pour honorer en ce jour les mamans ? Aaaah… la fête des mères ! Toute une journée on nous sommes mises à l'honneur. Même si, comme on aime à le dire, il faudrait que ce soit tous les jours notre fête. 😉 Une maman. Une maman, on n'en a qu’une. Elle fait de son mieux pour que nous puissions grandir avec une bonne éducation, avec le respect des autres. Être poli, sage, obéissant. C’est parfois difficile. Heureusement, une maman elle pardonne toujours, même quand on dérape et que l’on ne suit pas le fil conducteur. Ma maman à moi elle est tout ça et beaucoup plus. Mais elle est aussi loin de moi. Elle habite là-bas, de l'autre côté de l'Atlantique. Elle est loin mais si près de mon cœur. Je l’aime. Je l'aime tant. Je l’aime encore plus depuis que moi aussi je suis « maman ». Je la comprends et soupèse tout ce qu'elle a dû faire pour moi. Au-delà de ses sacrifices, ses peurs, ses émotions, ses craintes, ses joies. Et, à mon tour, je suis une maman qui fait de son mieux pour que ses enfants aient une bonne éducation. Aaaah… pas facile ! Maman je n’ai que toi comme mode d’emploi. Que toi comme modèle. Et j’en suis fière. J’espère arriver à faire aussi bien que toi. Toi qui a fait de moi ce que je suis aujourd’hui : une femme forte, responsable, enjouée, travailleuse, créative. Heureuse. Je te crois éternelle. Et tu le seras à jamais, bien au chaud dans mon cœur d’enfant qui a présent est cœur de maman. Je t'aime Maman, je t'aime tant… Ce gâteau, je l'ai fait en pensant à toi maman. J'y ai associé le peps du fruit de la passion et on l'a dévoré avec une boule de glace à la vanille. J'avoue, il ne manquait que toi ! Voici la recette du Gâteau de Patate douce : Il vous faut : - 1 kg de patates douces - 250 g de beurre - 3 œufs - 3 c. à soupe de farine - 3 c. à soupe de rhum blanc (facultatif) - 3 c. à soupe de sucre de canne roux - 1 pincée de cannelle en poudre - Des zestes de citron vert - de la vanille Comment faire ? - Pelez les patates douces et les faire tremper dans une eau citronnée pour éviter qu'elles noircissent. Les couper en morceaux et les faire cuire à l'eau. - Préchauffez le four à 210°C (Th.7). - Égouttez les patates douces une fois cuites. Réduisez-les en purée. - Ajoutez le beurre fondu, les œufs, le sucre, la farine, le rhum et les épices. - Mélangez et versez la préparation dans une moule à gâteau. - Faites cuire pendant 1 h. - Laissez tiédir avant de déguster avec une boule de glace à la vanille et un coulis de fruits de la passion. Pour le coulis : - Coupez 4 fruits de la passion et versez les graines dans une casserole. - Ajoutez 3 c. à soupe de sucre et le jus d'un citron vert. - Ajoutez 10 cl d'eau. - Laissez réduire à feu doux 40 minutes. "On ne naît pas femme : on le devient." Simone de Beauvoir Enregistrer

Ah ! La banane… dans un inconscient collectif outre-atlantique, elle a été sexy avec Joséphine Baker, réconfortante avec Banania, (la première image de la marque était d’ailleurs une Antillaise dessinée par H. Tishon avant d’être celle d’un soldat sénégalais), Split, si on en croit la chanson de Lio, et même sans début ni fin, comme dans cette pub des années 80 où on nous conseille de " la manger par les 2 bouts" !!! Mais la banane, ne se résume pas à la variété banane dessert que l’on trouve couramment sur les étals et qui s’exporte à travers le monde. La banane est multiple. La banane est fruit mais aussi légume ou alors simple fleur quand elle décide de pointer bien droit vers le ciel ses pétales aux teintes rosées. Ici, aux Antilles, on consomme couramment la banane. D’ailleurs, qui n’a pas dans son jardin son plant de bananier ? La banane fait partie du paysage. La banane fait partie de l’histoire, de l'économie et de la gastronomie des Antilles. Elle se retrouve en effet souvent dans nos assiettes. Elle s’appelle alors ti nain quand on l’accompagne d’un morceau de morue au petit-déjeuner pour démarrer une journée de dur labeur, on la choisit jaune pour la faire gratinée et accompagner un poulet bien grillé, elle est homonyme du mot dessert quand elle se flambe avec une pointe de rhum… elle se fait petite ou fressinette pour se glisser dans un morceau de pain pour le goûter après le retour de l’école ! Alors, oui, ici, la banane on connaît ! Ou du moins, c’est ce que l’on pense… Comment vous aussi vous doutez tout d’un coup ? Ok, j'ai la solution ! 😉 Faites comme moi : si vous voulez enrichir vos connaissances, une visite au Musée de la banane à Sainte-Marie s’impose ! J’ai embarqué ma petite troupe pour une balade sous les plus grandes herbes du monde. (Car oui, le bananier n’est pas un arbre mais bien une herbe géante qui peut atteindre, aux Antilles, 5 à 6 mètres de haut !) Alors, suivez-moi… Le Musée se situe un peu en retrait de la commune de Sainte-Marie, un peu plus loin à l'intérieur des terres, juste après la Distillerie Saint-James. La visite commence par le musée ou de très beaux panneaux bien illustrés nous permettent d’en savoir plus sur cette plante herbacée de la famille des Musacées. Cette exposition permanente aborde le monde extraordinaire de la banane à travers l’histoire, la botanique, la culture. Les textes ne sont pas très longs, traduits en plusieurs langues, ils sont précis et invitent agréablement à la lecture. La visite continue ensuite dans un parc où 60 variétés de bananes sont présentes. C’est étonnant et enrichissant de pouvoir ainsi les comparer. Les grosses, les petites, trapues, dodues, même les « troncs » ont aussi une palette de couleur à offrir. Au fil du parcours sur un chemin bétonné, grâce à des panneaux placés aux pieds des différentes variétés, on fait ainsi connaissance avec la banane argentée, la banane M’Bouroukou, la Serpent, la Kankambou, la Yangambi d’Indonésie, la Pisang Lilin, la Grande Naine, la banane Corne, ou encore la Figue Oiseau… A chacune sa fleur, son régime, sa taille, sa beauté… On s’amuse à les comparer les unes aux autres, on déambule tranquillement sous les grandes feuilles vertes de ces herbes aux fruits lourds et charnus. Presqu’une heure plus tard, à la fin du parcours, ponctué aussi de balisiers, alpinias et roses de porcelaine, on peut faire un tour dans la petite boutique pour acheter des produits confectionnés à partir de banane et venant de toute la Caraïbe : liqueurs, confitures, chips de plantain natures ou épicées et même vin blanc moelleux et ketchup de banane !… Le choix est varié et on se laisse facilement tenter à essayer ces nouvelles saveurs. Et, puisque l’appétit a été aiguisé, on s'installe en toute logique à la terrasse du restaurant La Bananeraie pour une pause gustative avec vue sur le site. L’accueil y est agréable. Au menu, des classiques revisités avec… de la banane ! 😛 Un pari tenu et réussi. On est venu pour la découvrir alors on joue le jeu à 100 % et on ose un cocktail alcoolisé (ou non) avec… de la banane, que l'on savoure avec des accras de morue… aux ti-nain, puis c'est au tour du velouté de patates douces, lambis et… ti-nain (un pur délice !). Le mille-feuille de banane a bien sûr trouvé lui aussi sa place (en réalité une revisite des lasagnes, les pâtes sont remplacées par des bananes jaunes) et on termine, sans surprise, par la classique banane flambée… . Un menu gourmand avec de belles assiettes colorées, créatives et délicieusement savoureuses. Pour conclure ce post, je partage avec vous ce proverbe créole : " Fô pa ou palé bannan mal anba balizyé. " (Il ne faut pas dire du mal de la banane sous le balisier.) Il ne faut pas médire des gens en présence de leur proche. Plus d'infos aussi sur le site du Musée de la Banane : http://museedelabanane.fr/home/

Ok, le titre est posé et est assez vendeur. Car c'est bien ainsi qu'est présentée dans les guides touristiques cette immense étendue de sable blanc située au Sud de l'île : une Carte Postale. Il me fallait juger à nouveau si vraiment le titre n'était pas trop pompeux. En effet, vivant sur l'île depuis plus de 20 ans, c'est un coin que j'ai beaucoup fréquenté dans mes premières années, surtout le week end, avec des amis. Et puis, les années ont défilé, les cyclones ont balayé les plages (beaucoup ont perdu des centimètres de sable et quelques cocotiers au passage…😢) et aussi je suis devenue maman. Les Salines n'est plus devenue la destination phare d'une sortie en week end. Trop de route à faire, beaucoup de monde sur le site, et aussi des embouteillages certains sur la route du retour. Avec des enfants en bas âge, j'ai opté pour des destination plus proches, des plages plus "familiales". Mais, là… on ne sait pourquoi, une soudaine envie de me sentir "en vacances". De refaire la route des plages du Sud, rouler et sentir chauffer le soleil sur la carlingue de la voiture. Arriver et se sentir dans l'ambiance. Il est vrai qu'il faut jouer du coude pour se garer (il vaut donc mieux arriver tôt et aussi penser à se garer dans le sens du retour car après on peut difficilement faire demi-tour) mais un fois sur place, oui, je confirme, Les Salines est un plage Carte Postale !!! L'étendu de sable blanc qui se profile en arc de cercle sur l'horizon y participe. La mer transparente. Les coins d'ombrage multiples qui préservent de l'intimité… La publicité n'est donc pas mensongère ! Le cliché rêveur est bel et bien contractuel ! Et puis, autres avantages, on peut trouver de quoi se restaurer, et même pourquoi pas disposer d'un transat si on en fait la réservation. Juste à l’entrée de la plage, Olivier propose, à l'ombre d'une jolie paillote, un joli marché de fruits frais locaux. On peut les déguster en salade ou en jus. Plus loin, les poissons et autres viandes sont déjà sur le grill et embaume de leur fumet. Tout le long de la plage, des tables de pique nique sont disposées dans les zones ombragées (là aussi il faut arriver très tôt si on veut avoir la chance d’en avoir une). Les accras s’achètent sur place et on les déguste à l’apéro, lové sur le sable, face à une vue à couper le souffle. Et puis… il y a la marchande de sorbet coco !!! On sait qu’elle va passer tout près grâce à sa sonnette qu’elle agite pour prévenir de son arrivée. J’aime ce petit vibrato. Celui qui te titille les oreilles et surtout qui met les papilles en émoi quand tu es bien installé sur ta serviette de plage, en train de te prélasser sous un soleil de plomb. Pour 2,5 euros (le petit modèle) tu dégustes un pure merveille ! Ahhhhh… les plages de Martinique et ses délices aux alentours… ça rajoute beaucoup de + à la carte postale, croyez moi ! La journée fut paradisiaque. La journée fut comme celle du rêve vendu en affiche placardée sur la vitrine d'une agence de voyage. Et je crois vraiment que notre île est riche de paysages, de sites tout aussi beaux les uns que les autres, avec chacun leur atout et leur ambiance. Ne ratez donc surtout pas cette destination clichée lors de votre séjour. Vous pourrez alors poser en photo et faire ainsi votre propre carte postale ! 😉 « Une photographie, c’est un arrêt du cœur d’une fraction de seconde. » Pierre Movila.

Il est des lieux où la magie opère. L'Habitation Clément est l'un deux. Pour faire du rhum, il faut de la canne, mais il faut aussi - et surtout - des Hommes. Et puis aussi des machines, des rouages, de la sueur, de la saveur… bref il faut une Histoire. The Habitation Clement, between tradition and modernity There are places where the magic happens. The Habitation Clement is one of them. Et, par ce que faire du rhum, c'est tout un art, il paraît alors évident que l'art se pose en ce lieu, à côté des vieilles pierres, des arbres majestueux et ancestraux. And, because the rum, is an art, then it seems obvious that art arises in this place, next to the old stones, majestic and ancient trees. Tout transpire le passé, et tout revit au/à présent… Dans ce nouveau siècle, choc des histoires, choc des vies, sous des effluves de rhums millésimés. All sweats the past, and all revit now... In this new century, the stories shock, shock of lives under the fragrance of rums vintage. "Les grandes œuvres sont celles qui réveillent notre génie." Louis-Ferdinand Céline "Great works are those that awaken our genius." Louis-Ferdinand Céline Fondation Clément - Habitation Clément 97240 Le François - Martinique - Tél. 05 96 54 75 51 L’ensemble du domaine est ouvert 365 jours par an. L’habitation et les expositions se visitent de 9h à 18h30 (dernière entrée à 17h30 pour l'Habitation Clément). Plus d'info sur les tarifs : www.fondation-clement.org More info : www.fondation-clement.org Enregistrer

En Martinique, le Vendredi Saint (le vendredi du week-end de Pâques) est une journée qui rime avec accras. L’accra est mis à l’honneur ce jour là. La recette est bien différente du traditionnel accra de morue (ou marinade) que l’on déguste toute l’année pour accompagner le ti-punch. Il y a plusieurs manifestations dans l’île où l’on peut apprendre à les préparer en suivant la recette traditionnelle à base de chou dur (appelé aussi chou Caraïbe ou malanga en Guadeloupe). Il est aussi possible d’en acheter et ainsi de les déguster tout chauds. Festival d'accras, ateliers d'accras... de nombreux évènements sont organisés le vendredi matin dans diverses communes de l’île, le point fort se situant sur le Grand Marché Couvert de Fort-de-France. Manger des accras le Vendredi Saint est une tradition bien ancrée aux Antilles et qui symbolise la fin des 40 jours de Carême. Avant le lever du soleil, certains catholiques pratiquants vont au calvaire faire leur chemin de croix. D’autres préfèrent se rendre à l’église dans l’après-midi. Les accras cuisinés ce jour là sont dégustés avec une salade verte et des crudités. Vendredi Saint étant un jour de jeune, sous entendu un jour où l’on ne consomme pas de viande, ces accras ne contiennent pas d'oeuf ni de lait. Ils se font avec du chou dur et du giraumon râpés. On en a réalisés à la maison avec les filles, après avoir acheté les légumes traditionnels sur le marché le matin même. Elles ont râpés les légumes à la main sur la râpe traditionnelle gentiment prêtée pour l’occasion par la voisine. Attention aux doigts !! Il faut mettre du cœur à l’ouvrage si l’on veut que ce soit réussi non ? C’est bien meilleur ainsi ! On a ensuite ajouté aux légumes les épices indispensables, elles aussi finement ciselés. Ce fût un régal !!! Voici la recette (tirée du site https://sweetkwisine.blogspot.com) : 500 g de chou caraïbe 250 g de giraumon râpé 2 grosses cuillères à soupe de farine bombées 2 ou 3 oignons pays thym frais 3 branches de persil 1 gousse d'ail piment sel, poivre un peu d'eau Huile pour la friture Comment faire… Eplucher les légumes et les râper finement. Mélanger le tout dans un saladier avec les aromates très finement ciselées et la farine. Ajouter de l'eau peu à peu jusqu'à obtenir une pâte homogène mais pas trop liquide, légèrement mousseuse. Saler et poivrer. Faire chauffer l'huile. Attention à ce qu’elle ne soit pas trop chaude car il faut que les accras cuisent au cœur avant de dorer. A l'aide d'une cuillère à soupe, déposer des petites quantités de pâte dans l’huile chaude et laisser cuire jusqu'à ce que les accras soient bien dorées. Les déposer sur du papier absorbant. Bon appétit !! Et Joyeuses Pâques :-) Enregistrer

Hello You, Samedi il a plu. (Sympa le week-end…Grrrr, Grrr…) Et forcément, quand il pleut, je tourne un peu en rond dans la maison car je n'ai pas trop envie de me caler dans le canapé avec les enfants qui regardent la chaîne des dessins animés pendant des heures ! Alors j’ai senti l’appel des fourneaux. Tu sais cette envie de faire de la cuisine pour régaler ses papilles et celle des enfants à l’heure du goûter. Enfin là, c’était pas l’appel des fourneaux mais plutôt celui des abricots ! Il y avait sur le plan de travail ces beaux fruits apportés par une tante de mon mari. Si tu es des îles tu connais l’abricot pays (ou péyi) , mais si tu es d’ailleurs, je t’arrête de suite si tu penses que c’est un abricot France que l’on a gentiment renommé pour faire plus « local ». Non, non, cet abricot là et beaucoup plus gros, assez lourd, et tient difficilement dans la paume d’une main. Sa chaire est orangée et chaque fruit comporte 4 gros noyaux. Il a un délicieux goût d’exotisme et un parfum envoûtant. On en avait déjà mangé quelques-uns simplement en coupant sa chaire sucrée. Un délice… Mais il en restait encore et il fallait au plus vite les utiliser avant qu’ils ne soient trop mûrs. Alors je me suis lancé un défi. Je vais faire de la confiture !!! Oui, MOI, Rachel je vais faire de la confiture ! J’ai des souvenirs d’enfance où ma mère faisait de la confiture avec les fruits du jardin. Ce sont des images qui m’ont marquée. La bonne odeur des fruits qui cuisent et la patience pour remuer constamment la marmite pour ne pas que ça brûle. Les pots s’alignaient et on se léchait d’avance les babines en pensant aux soirées gaufres tartinées de confiture maison qu’on allait dévorer devant la télévision. Car c’est bien là le seul « repas » qu’on avait le droit de ne pas manger assis à table. La liberté de la gaufre dévorée sur le canapé, que de souvenirs… toi aussi tu connais ?? Hummmmm… Et puis, quand j’ai eu mon «chez moi», je me suis dit que j’allais moi aussi en faire de la confiture !! Mais je les ai ratés à chaque fois. Un petit pincement au cœur s’est fait sentir. Comme si j’avais loupé le passage obligatoire pour être une bonne « mère au foyer ». Et puis j’ai eu mes trois enfants et je n’ai jamais osé réessayer. Peur de ne pas reproduire ce schéma d’enfance et de perdre cette image d’instant familial si présente dans mon cœur. Alors, quand je me suis dis Oui, MOI, Rachel je vais faire de la confiture ! J’avoue, j’ai prévenu mes filles : « Je ne suis pas certaine d’y arriver, les confitures c’est pas mon truc !!! » J’ai téléphoné à la tante de mon mari et après avoir bien noté la recette, je m’y suis attelé avec minutie et patience. En tournant la marmite, où les abricots cuisaient lentement, mêlés aux épices (vanille - zestes de citron vert) et au sucre de canne, j’ai repensé à ma mère dans sa cuisine. Je l’ai revue écumer la confiture, je l’ai revue faire le test sur une assiette pour savoir si la confiture était prise. Je me suis revue léchant mon doigt couvert des fruits cuits chauds et sucrés. C’est sans doute ces souvenirs-là qui m’ont rassuré et aidé à mitonner ces quelques pots. Car oui, j’y suis arrivé !!! MOI, j’ai FAIT DE LA CONFITURE !! Alors, ce n’est pas peu fier que j’ai couru, une cuillère bombée de confiture à la main, faire goûter ce nectar aux filles. « Hey, votre mère a fait de la confiture !!! » Et vous savez quoi, en plus elle est SUPER bonne !!!! Alors si toi aussi tu penses ne pas y arriver, lances toi ! et suis cette recette : (Tiens, et si un jour je faisais de la confiture de goyaves… ? ;-) ) Pour 8 pots de confiture d'abricots pays, il vous faut : - 2/3 abricots lavés, épluchés et coupés - le même poids que celui des abricots coupés en sucre de canne - Zestes de citron vert - 3 c. à soupe d'essence de vanille - 2 c. à soupe de rhum blanc Comment faire (où comment obtenir son diplôme de mère au foyer) ? - Lavez et épluchez les abricots. La peau s'enlève facilement comme lorsqu'on épluche une orange. Il reste ensuite une légère pellicule blanche sur le fruit. Il faut la retirer à l'aide d'un économe car elle donne un goût amer. - Coupez l'abricot en morceaux et placez-les ensuite dans une casserole. - Ajoutez le sucre et les épices. Mélangez bien. Laissez ensuite reposer pendant 2 h pour que l'abricot rende son jus. - Lancez ensuite la cuisson de la confiture à feu doux. - Au bout d'1h de cuisson, écrasez l'abricot avec un presse purée. - Continuez la cuisson de la confiture pendant environ 1 h. - Lorsque la confiture est prise, vous pouvez remplir vos bocaux propres avec la confiture encore brûlante. Enregistrer

" Maman, je voudrais bien toucher les nuages… Dis, on pourra un jour, Maman ? " "Oui, on peut essayer Loée, mais pour cela il va falloir grimper bien haut ! Tout en haut du plus haut sommet de l'île. Sur la montagne Pelée, celle qui a toujours la tête dans les nuages justement." Alors il fallait que ce jour là il y en ait quelques-uns de nuages, pour avoir la sensation d'être dans la brume et avoir froid "comme en Métropole" et aussi que le ciel soit dégagé de temps en temps pour se délecter de la vue, la récompense d'un effort ascensionnel. Alors on a pris notre temps pour la gravir, on a pris le temps en chemin d'observer la vue mais aussi la végétation si particulière et endémique. On a grimpé, parfois escaladé des roches humides, entre fougères arborescentes, mousse verdoyante et fleurs aux couleurs chatoyantes. Et puis arrivés en haut, on n'était pas peu fier ! Surtout moi qui ne pensais pas y arriver "si facilement" !! Alors, pris d'un élan d'énergie, comme des surdoués de la randon en montagne, on a décidé d'aller plus loin, encore un peu plus haut… Et là, alors, on a pu toucher les nuages ! "Il ne sert à rien de planifier un avenir si lorsqu'il devient présent, c'est vous qui n'êtes pas là. On ne vit rien si on ne vit pas pleinement." Alan Watts Enregistrer Enregistrer

Sur la plage, on se baigne, on bronze, on se détend, on fait des châteaux de sable, mais aussi, sur la plage, on peut faire plein d'acrobaties ! Et puis les vagues sont un formidable terrain de jeu… Petit flash back sur une journée détente à Sainte-Luce. Et après tant de prouesses acrobatiques, une petite sieste est bien méritée à l'ombre des mancenilliers. " Un homme qui a réussi est un homme qui se lève le matin et se couche le soir, et qui entre les deux a fait ce qu'il aimait " Bob Dylan Enregistrer